Un livre intéressant car il décrit une époque pas si lointaine et pourtant si différente, un esprit, plus généralement, la fin de l'époque d'après guerre, le début d'une nouvelle ère.
Le dernier film de Tarantino se dévore avec rage et passion. Sud des Etats Unis, 2 ans avant la guerre de Sécession, DJANGO, esclave de son état, est acheté par le Docteur SCHULTZ, chasseur de primes dans le but de l'aider à reconnaitre un criminel devenu un contremaitre cruel, ancien bourreau de DJANGO. Entre le chasseur de primes distant et raffiné et l'homme brut, une relation se noue où se mèlent tout à la fois, la reconnaissance pour l'esclave d'avoir été affranchi, d'accéder à la lecture, de sortir de l'ignorance et la méfiance face au métier de son nouveau partenaire. DJANGO apprend vite, devient un tireur d'élite, chevauche son cheval comme personne et le cow boy noir forme avec le Docteur SCHULTZ une équipe de choc et un duo impitoyable.
Rachel, une petite fille, mal dans sa peau, ne veut plus dormir sans son cartable, elle a trop peur d'arriver en retard à l'école; d'ailleurs, elle a un peu peur de tout. Sa mère, gentille, rigide, pas trop rigolotte , l'emmène voir un psy, Mme Trebla qui aide Rachel à regarder vers l'extérieur.
Antoine et Mélanie, un frère et une soeur, se retrouvent pour passer un week end ensemble. C'est l'anniversaire de Mélanie, un anniversaire triste puisque son histoire avec Olivier s'achève. Antoine, lui, gère plus mal que bien un divorce peu ancien. Antoine offre comme surprise à Mélanie un week-end à Noirmoutiers, lieu où ils passaient leurs vacances quand ils étaient jeunes, quand leur mère était vivante. Ce week-end et l'accident qui va suivre va faire ressurgir des souvenirs, des sentiments enfouis, des sensations oubliées et par dessus tout, le drame qu'ils ont vécu quand ils étaient jeunes.